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🌟 Une belle réussite collective Octobre a été un mois intense pour le cabinet Avenirfi, marqué par de nombreux audits et souscriptions de contrats de prévoyance sur mesure . Notre objectif : accompagner chaque client vers une protection réellement adaptée à sa situation familiale, professionnelle et financière. 💬 Beaucoup de clients avaient des besoins très spécifiques : prise en compte de leur âge à l’adhésion , choix d’un barème professionnel plus favorable en cas d’invalidité, maintien de revenus sur mesure , ou encore la prise en charge des frais généraux pour les indépendants. Et il faut bien le dire : tous les assureurs ne proposent pas ce niveau de personnalisation. 👉 C’est là que le rôle du courtier Avenirfi prend tout son sens : comparer, négocier et construire un contrat cohérent avec les attentes du client. ⏳ Mais certains ont manqué le coche… Malgré nos nombreuses relances, quelques clients n’ont pas pu agir à temps avant la date butoir du 31 octobre pour résilier leur ancien contrat. Rien de dramatique : ils sont déjà inscrits dans nos priorités pour 2026, et je suis convaincu que nous ferons encore mieux l’an prochain , tant en réactivité qu’en nombre de souscriptions ! 🤝 Un accompagnement qui continue Même après cette échéance, il est toujours possible : de souscrire un premier contrat de prévoyance , ou d’en ajouter un en complément du précédent pour renforcer sa couverture. Je reste à disposition pour vous aider à : ✅ comprendre les garanties disponibles (arrêt de travail, invalidité, décès, rente éducation, etc.), ✅ déterminer les bons niveaux de protection selon votre âge, votre métier et vos besoins, ✅ et optimiser votre contrat sans surcoût inutile. 💡 La prévoyance, c’est bien plus qu’un contrat : c’est une véritable assurance de sérénité pour soi et pour ses proches. 📩 Contactez Avenirfi dès maintenant pour faire le point sereinement sur votre protection. Il n’est jamais trop tard pour bien se protéger .

🔍 Tandis que le projet d’ euro numérique de détail continue de susciter scepticisme et débats, la Banque centrale européenne (BCE) avance à pas assurés sur un autre front : celui de l’ euro numérique interbancaire , aussi appelé “euro numérique de gros”. Moins médiatisé, ce chantier n’en est pas moins stratégique : il vise à moderniser les règlements entre institutions financières à l’aide de technologies blockchain, tout en préservant la stabilité du système bancaire. 🏦 De quoi s’agit-il ? La BCE vient de publier la liste des participants retenus pour la première phase de son projet de monnaie numérique interbancaire. Sans surprise, toutes les grandes banques européennes figurent parmi les acteurs sélectionnés. Cette première étape, baptisée « Pontes », consiste à connecter les plateformes DLT (Distributed Ledger Technology) aux services TARGET de l’Eurosystème, c’est-à-dire les infrastructures de paiement et de règlement de la BCE. Le lancement pilote est prévu pour le 3e trimestre 2026 , marquant le début concret de l’intégration des technologies blockchain dans les échanges interbancaires. 🚀 Une phase 2 déjà en préparation La deuxième phase , nommée « Appia », visera à développer une véritable infrastructure de CBDC de gros entièrement intégrée . Ses objectifs : permettre la programmabilité des paiements (exécution automatique selon des conditions prédéfinies), assurer le règlement atomique (paiement et livraison simultanés), faciliter les opérations de change et les transactions transfrontalières au sein d’un cadre européen harmonisé. Contrairement à l’euro numérique de détail, cette version “de gros” fait largement consensus entre les banques et la BCE. Les acteurs financiers y voient une modernisation nécessaire des circuits de paiement interbancaires, sans remise en cause de leur rôle central dans la création monétaire. ⚙️ Deux modèles encore en discussion Deux grandes architectures sont aujourd’hui à l’étude : Un registre unique intégré , combinant monnaie de banque centrale, dépôts bancaires, actifs tokenisés et stablecoins. Un réseau de registres interopérables , où chaque acteur conserverait son système mais connecté aux autres via des passerelles sécurisées. La BCE n’a pas encore tranché, mais ces choix détermineront la manière dont les flux financiers européens seront organisés dans les décennies à venir . ODDO BHF : première banque à intégrer un stablecoin dans ses réserves 🔵 Dans le sillage de cette dynamique, la banque Oddo BHF vient de créer la surprise en lançant EUROD, son propre stablecoin en euros , validé par l’ ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution). Particularité notable : EUROD n’est pas adossé à une réserve séparée . Alors que la réglementation MiCA impose aux établissements de monnaie électronique une réserve 100 % liquide et isolée, les banques , elles, peuvent intégrer les stablecoins à leurs réserves fractionnaires . Autrement dit, ces jetons numériques deviennent une composante du bilan bancaire , au même titre que les dépôts traditionnels. 💡 Une première en Europe Oddo gère plus de 150 milliards d’euros d’actifs et devient ainsi la première banque européenne à franchir ce cap. Même la Société Générale, pionnière dans le domaine avec sa filiale Forge , n’avait pas intégré directement ses stablecoins à son bilan. Ce positionnement confère à Oddo un avantage compétitif inédit , tout en marquant une rupture dans la gestion monétaire au sein du secteur bancaire. Il ouvre la voie à une forme hybride entre finance traditionnelle et finance tokenisée. 🌍 Quelles perspectives pour le secteur bancaire européen ? Jusqu’ici, la prudence réglementaire avait freiné les initiatives des grandes banques sur les stablecoins. Mais la décision d’Oddo pourrait bien changer la donne : d’autres établissements européens pourraient suivre ce modèle , d’autant que la réglementation européenne est plus souple que celle des États-Unis , où les banques doivent maintenir des réserves totalement séparées. Le message est clair : l’Europe ne veut plus rester spectatrice de la transformation monétaire mondiale. Entre CBDC interbancaire et stablecoins privés régulés , le vieux continent commence à se doter d’un écosystème numérique financier propre , apte à rivaliser avec l’hégémonie du dollar numérique. 👉 Chez Avenirfi , nous suivons avec attention ces évolutions qui redéfinissent les équilibres financiers mondiaux. Si ces mutations peuvent sembler lointaines, elles auront à terme un impact sur l’économie réelle, la gestion de l’épargne et les mécanismes de financement. Notre mission : accompagner nos clients dans la compréhension de ces nouveaux enjeux économiques , pour qu’ils puissent prendre leurs décisions en toute connaissance de cause.

🔍 Alors que la Banque Centrale Européenne (BCE) poursuit son projet d’ euro numérique pour les particuliers à l’horizon 2028, la résistance du secteur bancaire s’intensifie. Les grandes banques européennes, inquiètes des conséquences pour leur modèle économique, dénoncent un projet « ni adapté aux besoins des consommateurs, ni bénéfique pour la stabilité financière ». 💶 Une monnaie numérique qui inquiète les acteurs traditionnels L’euro numérique serait une monnaie digitale émise directement par la BCE , mise à disposition du grand public, à l’image de l’euro fiduciaire (billets et pièces). Mais contrairement à la monnaie actuelle, détenue sur des comptes bancaires commerciaux, cette nouvelle forme de monnaie serait directement inscrite dans les registres de la BCE . Un changement de paradigme majeur : si les particuliers venaient à transférer une part significative de leurs dépôts vers cette monnaie numérique, les banques commerciales se retrouveraient privées d’une ressource essentielle pour financer les crédits à l’économie réelle. Autrement dit : moins de dépôts → moins de capacité à prêter → un risque sur leur rentabilité et sur l’économie . 💰 Un coût colossal et une utilité discutée Selon les estimations de PwC , la mise en place de l’euro numérique coûterait entre 18 et 30 milliards d’euros . Un montant considérable pour un projet dont l’intérêt concret pour les consommateurs reste flou. Les banques soulignent que les moyens de paiement électroniques actuels (cartes, virements instantanés, wallets…) répondent déjà efficacement aux besoins du grand public. 🇺🇸 Pendant ce temps, les États-Unis confortent leur avance De l’autre côté de l’Atlantique, les États-Unis ont mis en pause leur projet de monnaie numérique de banque centrale (MNBC) . Mais ils dominent largement le marché des stablecoins , ces cryptomonnaies adossées au dollar. Résultat : 99 % des stablecoins en circulation sont libellés en dollar américain — une nouvelle manière pour les États-Unis d’affirmer leur suprématie monétaire mondiale. Chaque émission de stablecoin s’accompagne d’achats massifs de dette américaine , ce qui contribue à financer leur économie à moindres frais. 🌍 Vers une alternative européenne ? Face à cette hégémonie du dollar numérique, plusieurs groupes bancaires européens travaillent déjà à des stablecoins en euro , émis de manière concertée et régulée. Même la Banque de France , par la voix de son gouverneur, appelle désormais à favoriser l’émergence de champions européens dans ce domaine — signe d’un certain réalisme face à l’évolution du marché. 🧭 Ce qu’il faut en retenir L’euro numérique pourrait profondément transformer le rôle des banques commerciales et la manière dont circule la monnaie en Europe. Mais le projet pose encore plus de questions qu’il n’apporte de réponses : Comment préserver la stabilité financière si les dépôts fuient les banques ? Qui financera les ménages et les entreprises ? Et surtout, quelle place pour l’Europe dans la compétition monétaire mondiale dominée par le dollar numérique ? Le débat est loin d’être clos, et il s’annonce déterminant pour l’avenir de notre système monétaire. 👉 Chez Avenirfi , nous suivons de près ces évolutions financières qui, à terme, pourraient impacter la gestion de l’épargne et des crédits . Notre rôle : accompagner nos clients dans un environnement économique en mutation , en leur proposant des solutions concrètes, transparentes et adaptées à leurs besoins.

💡 Changer d’assurance emprunteur peut faire économiser gros… mais à quel prix ? Depuis la loi Lemoine, tout emprunteur peut désormais changer d’assurance de prêt immobilier à tout moment . Une liberté bienvenue, surtout quand on sait qu’un nouveau contrat peut faire baisser la facture jusqu’à 25 % ou plus . Mais derrière ces économies séduisantes se cache un risque souvent méconnu : celui des « trous de garanties ». 🔍 Un “trou de garanties”, qu’est-ce que c’est ? C’est la situation dans laquelle aucun des deux contrats — l’ancien ou le nouveau — ne couvre un sinistre , par exemple en cas d’arrêt de travail ou d’invalidité. Cela peut survenir lorsque : le délai de carence du nouveau contrat n’est pas encore écoulé ; ou que le sinistre s’est produit avant la date d’effet du nouveau contrat, alors que l’ancien a déjà été résilié. Résultat : aucune prise en charge par les assureurs… alors même que l’emprunteur pensait être parfaitement couvert. ⚠️ Les deux points de vigilance avant tout changement Le délai de carence : certaines assurances n’indemnisent pas les sinistres survenus pendant une période de quelques mois après la souscription. Cela peut concerner notamment les garanties perte d’emploi, incapacité temporaire de travail (ITT) ou invalidité. Les exclusions liées aux pathologies préexistantes : si un problème de santé existait avant la souscription du nouveau contrat, il peut être exclu, surtout si la pathologie a été médicalement constatée avant le changement. 🎯 Comment éviter ces situations ? Avant de signer, il est essentiel de : comparer les garanties ligne par ligne , et pas seulement le prix ; vérifier la date exacte d’effet du nouveau contrat ; demander un accompagnement professionnel pour s’assurer que la transition se fasse sans interruption de couverture. Changer d’assurance emprunteur est une excellente opportunité pour alléger le coût de son crédit immobilier. Mais cette démarche doit se faire avec prudence et méthode , afin d’éviter que l’économie réalisée ne se transforme en perte sèche en cas de coup dur. 📣 Et vous ? Avez-vous déjà envisagé de changer votre assurance emprunteur ?

🧭 Un repère dans la tempête économique mondiale Le cours de l’or s’envole et dépasse désormais les 4 000 $/once , suscitant l’intérêt… mais aussi l’inquiétude. Faut-il y voir un signal d’alarme, une bulle spéculative sur le point d’éclater ? Ou bien, au contraire, s’agit-il d’un phénomène structurel révélant un bouleversement plus profond : la perte de confiance dans les monnaies fiat ? Chez Avenirfi , nous ne proposons pas de conseil en investissement — ce n’est pas notre rôle. En revanche, nous pouvons vous aider à mieux comprendre les dynamiques économiques, à vous forger une opinion informée, et à agir en toute conscience pour votre gestion budgétaire ou vos choix patrimoniaux , notamment autour de l’épargne ou de la prévoyance. 🔍 Une hausse parabolique… mais pourquoi ? Depuis plusieurs mois, le prix de l’or a connu une accélération fulgurante , passant de 3 600 $ à plus de 4 100 $ en quelques semaines. Une hausse qui semble difficile à expliquer par les seuls indicateurs macroéconomiques. Mais plusieurs éléments structurels soutiennent cette dynamique : L’inflation reste présente malgré le discours rassurant des banques centrales. La dette publique mondiale explose , notamment aux États-Unis (plus de 35 trillions de dollars). Les taux d’intérêt sont orientés à la baisse (la Fed a déjà réduit de 50 points de base en septembre 2025). Les tensions géopolitiques perdurent malgré certaines accalmies ponctuelles. Les banques centrales achètent massivement de l’or physique , notamment en Asie et dans les pays des BRICS. Les investisseurs cherchent une valeur refuge , face à l’instabilité grandissante du système monétaire international. 📉 Bulles, emballement et points de vigilance Certains analystes alertent néanmoins sur des signaux de surchauffe : L’or affiche désormais une courbe “parabolique” , typique des phases finales de bulle spéculative. L’engouement se généralise : quand la presse, les chauffeurs de taxi ou la voisine s’y intéressent, cela peut indiquer une surenchère émotionnelle plus qu’une conviction fondamentale. Le métal jaune est désormais massivement acheté en physique , au détriment des ETF, ce qui crée des tensions logistiques , parfois même des pénuries locales (notamment en Asie du Sud-Est). Les produits fractionnés (lingotins de 0,5 g à 1 g) explosent en popularité — mais attention aux frais parfois exorbitants , parfois plus de 40 % de la valeur faciale ! Un risque de correction de 10 à 20 % dans les mois à venir n’est donc pas à exclure. Cela n’invaliderait pas pour autant la tendance de fond. 🧱 L’or n’est pas un investissement, c’est une protection Rappel fondamental : l’or ne produit aucun rendement . Ce n’est pas un actif “rentable” au sens classique. Son intérêt réside ailleurs : il protège . Une once d’or vaudra toujours une once d’or. Ce n’est pas l’or qui monte, c’est la valeur de la monnaie qui baisse. C’est pourquoi il est pertinent de parler de “bouclier” plutôt que d’investissement , comme le propose justement l’approche pédagogique de certains formateurs indépendants. Chez Avenirfi, nous pouvons vous aider à réfléchir à ce rôle de “valeur refuge” au sein d’une stratégie globale de sécurisation : assurance-vie multisupport, épargne de précaution, constitution d’un patrimoine tangible… sans jamais tomber dans la spéculation. 💡 Faut-il acheter de l’or aujourd’hui ? Et comment ? Cela dépend de votre situation, mais quelques principes simples et prudents s’appliquent : Entrer progressivement (stratégie DCA) : acheter régulièrement, par petites touches, plutôt que de tenter de “timer” le marché. Favoriser le physique (et bien comprendre les frais) : ne payez pas 50 % de prime sur un mini-lingotin… sauf si c’est pour offrir à Noël. Stocker dans un lieu sécurisé : le stockage en Suisse, comme proposé par des sociétés spécialisées, peut être une bonne solution pour éviter les risques domestiques. Diversifier ses métaux précieux : l’argent, le platine ou le palladium peuvent compléter une allocation or, avec des perspectives différentes (par exemple, la demande industrielle de l’argent explose). L’argent métal, plus abordable, a progressé de +64 % en un an : c’est une alternative sérieuse si l’or devient hors de portée. 🔁 Que faire si l’or baisse demain ? La meilleure stratégie consiste souvent à ne rien faire . Si vous avez investi prudemment, de manière régulière, et pour les bonnes raisons (protection, diversification), alors une correction est un simple passage à vide, pas un drame. En revanche, pour ceux qui souhaiteraient réduire leur exposition après une forte hausse : la même logique s’applique. Revendre progressivement , par tranches, permet d’optimiser les prix sans se précipiter. ⚠️ Avenirfi et les métaux précieux : notre position Nous ne commercialisons pas d’or physique ni d’investissement en métaux précieux. 👉 Cependant, dans le cadre de nos services d’accompagnement budgétaire , de préparation à la retraite , ou de stratégies d’épargne à moyen/long terme , nous pouvons vous aider à poser les bonnes questions et à évaluer le rôle des métaux précieux dans un patrimoine personnel. Et surtout, à ne pas confondre protection du pouvoir d’achat avec recherche de performance absolue .

📉 Des marchés trop optimistes face aux risques Le Fonds monétaire international (FMI) vient de lancer un avertissement fort : les marchés financiers mondiaux sont peut-être trop complaisants face à des risques multiples. Entre les tensions géopolitiques, les guerres commerciales, la montée des dettes publiques et des valorisations d’actifs jugées excessives, le cocktail est explosif. Ce qui inquiète le FMI, c’est qu’en surface, tout semble calme. Les indices boursiers restent hauts, les obligations se vendent bien, et les investisseurs gardent leur confiance. Mais en profondeur, de nombreux signaux clignotent au rouge. 🏦 Des actifs surévalués et une dette publique élevée Les valorisations de nombreuses actions – notamment celles liées à l’intelligence artificielle – sont aujourd’hui largement déconnectées de leurs fondamentaux économiques. Si les rendements attendus ne se concrétisent pas, le FMI prévient : la correction pourrait être « soudaine et brutale ». Et ce n’est pas tout. L’endettement public atteint des niveaux préoccupants, en particulier dans les grandes économies. Une hausse inattendue des taux d’intérêt pourrait faire vaciller les équilibres, pesant à la fois sur les États, les entreprises et les ménages. 💥 Le risque d’un effet domino Autre source de préoccupation : la montée en puissance de la finance non bancaire (assureurs, fonds de pension, hedge funds, etc.), qui détient aujourd’hui près de la moitié des actifs financiers mondiaux. Ce secteur est moins réglementé que le secteur bancaire traditionnel, ce qui le rend potentiellement plus vulnérable aux chocs. Le FMI souligne que de nombreuses banques sont très exposées à ces acteurs… créant un risque de contagion systémique. 🔎 Pourquoi cette analyse est-elle importante pour vous ? Même si vous n’êtes pas directement investisseur en bourse, ces déséquilibres peuvent impacter votre épargne, vos crédits et votre pouvoir d’achat : Un krach boursier peut influencer la valorisation de votre assurance vie ou de votre Plan d’Épargne Retraite (PER). Une hausse rapide des taux d’intérêt pourrait renchérir le coût d’un crédit immobilier ou compliquer un projet de rachat de prêt. Des tensions économiques mondiales peuvent nourrir une inflation persistante… qui érode le rendement réel de votre épargne. 🧭 Comment agir avec prudence ? Chez Avenirfi, nous accompagnons nos clients à travers une approche de courtage indépendante et personnalisée, que ce soit en assurance emprunteur , en prévoyance , en mutuelle santé , ou encore en crédit immobilier . Notre rôle est de vous aider à naviguer dans cet environnement incertain, en trouvant les solutions les plus adaptées à votre situation personnelle. Que vous envisagiez un achat immobilier, un rachat de crédit, ou que vous souhaitiez optimiser votre prévoyance ou votre épargne, nous pouvons vous guider vers des solutions solides, même en période de turbulences économiques. 📌 Rappel important : Avenirfi n’est pas conseiller en investissement financier (CIF). Les informations présentes dans cet article sont fournies à titre purement pédagogique et informatif, et ne constituent en aucun cas un conseil en investissement. Chaque lecteur reste responsable de ses décisions et doit mener ses propres vérifications.

💥 Le rappel des faits Ce week-end, le marché des cryptomonnaies a connu le plus grand bain de sang de son histoire . L’annonce choc de Donald Trump — imposant des tarifs douaniers de 100 % sur les produits chinois et restreignant certaines exportations — a provoqué un séisme mondial. Résultat immédiat : les marchés américains plongent (S&P 500 : -2,7 %, Nasdaq : -3,5 %) et les cryptos s’effondrent dans leur sillage. Le Bitcoin passe de 117 000 $ à 104 000 $ en quelques heures. Ethereum chute de 4 755 $ à 3 460 $ , soit -16 %. Des altcoins enregistrent jusqu’à -80 %, et certains tokens ont même brièvement affiché des mèches à -99,9 %. Au total, plus de 19 milliards de dollars de positions ont été liquidées en 24 heures — un record absolu, bien supérieur au crash du Covid en 2020 ou à celui de FTX. ⚙️ Une cascade de liquidations et de défaillances techniques L’ampleur du choc a révélé les failles structurelles du marché crypto : Trop de positions surlevierisées, dans un marché peu liquide. Des carnets d’ordres vides : même les positions à faible levier ont été liquidées. Des pannes critiques sur plusieurs plateformes : • Lighter a inversé des positions avant de se mettre en pause. • Hyperliquid a déclenché un Auto-Deleveraging (ADL) forcé pour protéger le système. Les market makers, eux, ont dû suspendre leurs activités face à la fragmentation des liquidités — provoquant une implosion mécanique du marché. 📊 Ce que cet épisode nous apprend Le levier, encore et toujours : ce krach n’a pas été provoqué par une mauvaise nouvelle crypto, mais par un excès de levier. ➜ Quand trop d’acteurs parient sur la hausse avec de la dette, le marché finit par les punir. Une correction technique, pas fondamentale : Malgré la violence du mouvement, la structure haussière de long terme reste intacte. ➜ Il s’agit d’un flush de levier, pas d’une rupture de tendance. Les actifs les plus résilients sortent renforcés : Ceux qui ont le mieux résisté pourraient mener le prochain rebond. 📈 Les niveaux clés à surveiller Le Bitcoin (BTC) se trouve sur un support critique autour de 104 000 $ . Tant que ce niveau tient, il peut servir de base à une reprise progressive vers les 118 000 à 120 000 $ , qui forment désormais une zone de résistance majeure. Côté Ethereum (ETH) , le support se situe à 3 460 $ , avec une résistance à surveiller entre 4 100 et 4 350 $ . Si ces seuils se maintiennent, la capitulation du week-end pourrait marquer un point bas majeur — le genre de purge de levier qui prépare souvent le terrain à une reprise durable. 🎥 Pour aller plus loin Si vous souhaitez comprendre en détail ce qui s’est réellement passé dans les coulisses du marché , je vous recommande vivement la superbe vidéo explicative d’ Hasheur : 👉 Krach CRYPTO du 10 Octobre : que s’est-il passé ? J’ai d’ailleurs eu le plaisir de le croiser au KRYPTO-TOUR à Lyon , ce samedi 11 octobre. Un moment passionnant, d’autant plus symbolique pour moi, en tant qu’ alumni de l’école Alyra . Et qui sait… peut-être que je retournerai sur les bancs de l’école en 2026 pour continuer à explorer ces nouveaux horizons financiers ! 🚀 🧭 Et maintenant ? 👉 Prudence et patience : inutile de se précipiter tant que la tendance n’est pas clarifiée. 👉 Observer les actifs les plus solides : ils indiquent souvent la direction du prochain cycle. 👉 Rester attentif à la macroéconomie : le déclencheur de ce krach était géopolitique, il pourrait donc se reproduire ailleurs. Chez Avenirfi , nous suivons ces évolutions avec vigilance. Notre objectif : comprendre, anticiper et accompagner nos clients face aux mutations du monde financier — qu’elles viennent des marchés traditionnels ou de la blockchain. 💬 Et vous, pensez-vous que ce “flush” marque la fin de la phase euphorique… ou le début d’un nouveau cycle ?

Une annonce inattendue, des réactions en chaîne, et en quelques heures, le marché des cryptomonnaies a vacillé. Cette semaine, un événement géopolitique a déclenché un flash crash d'une rare intensité, provoquant la panique des investisseurs particuliers... et l’entrée discrète mais massive des institutions. Décryptage. 🧨 Un tweet, une taxe, une onde de choc Tout est parti d’un simple message sur les réseaux : Donald Trump, en campagne, annonce une taxe de 100 % sur tous les produits chinois à partir du 1er novembre. Une réponse directe aux restrictions que la Chine prévoit sur l’exportation des terres rares, matériaux cruciaux pour l’industrie technologique mondiale. Ce retour de la guerre commerciale sino-américaine a instantanément réanimé la peur sur les marchés : Wall Street décroche, les investisseurs vendent, les algorithmes s’emballent. Résultat ? Une vague de liquidations en cascade sur les actifs risqués, et en tête de liste : les cryptos. 📉 Un flash crash violent et rapide En moins d'une heure, plus de 7 milliards de dollars de positions à effet de levier sont parties en fumée. Le Bitcoin chute brutalement jusqu'à frôler les 105 000 dollars. Ethereum passe sous les 3 600 dollars, XRP perd plus de 30 %, et certains tokens plus spéculatifs s'effondrent littéralement. Ce mouvement technique est amplifié par les "ordres stop" et les algorithmes : lorsqu’un seuil-clé est franchi, les ventes s’enchaînent comme des dominos. Les graphiques ne ressemblent plus à des courbes, mais à des falaises. 🦈 Quand les institutionnels attendent leur moment Mais pendant que les particuliers paniquent, certains acteurs observent et agissent. Dans les carnets d’ordres, on a vu apparaître des “murs d’achats” entre 105 000 $ et 110 000 $ — des ordres massifs, impossibles à ignorer. Ces positions ne viennent pas de petits portefeuilles, mais de ce qu’on appelle les whales : fonds d’investissement, desks institutionnels, acteurs long terme. Leur stratégie ? Laisser le marché purger les excès de levier, puis entrer discrètement à des niveaux clés, quand tout le monde doute. ⚙️ Analyse technique : moteur chaud mais encore stable Malgré la secousse, les indicateurs techniques restent globalement solides : Le MACD reste en territoire haussier. Le RSI (Indice de Force Relative) oscille entre 56 et 60 : le marché n’est ni trop acheté, ni survendu. L’open interest (montant total des contrats ouverts) a bondi de 23 % en 24 heures : les investisseurs attendent le bon moment pour recharger. Ce n’est donc pas un accident mécanique, mais plutôt une sortie de route contrôlée par les acteurs les plus patients. 🔁 Un classique des marchés : peur, purge et opportunité Ce que nous avons vécu n’est pas nouveau. Les marchés financiers, et notamment celui des cryptomonnaies, fonctionnent par cycles. À chaque phase d’euphorie succède une purge brutale. Les investisseurs imprudents sont sortis, les investisseurs disciplinés accumulent. Rien n’a changé sur le plan fondamental : les institutions restent présentes, les ETF ne fuient pas, et le réseau Bitcoin fonctionne normalement. Ce qui a changé ? La perception collective. Et comme souvent, la peur fait vendre, mais la patience construit la performance. 📌 Chez Avenirfi , nous insistons sur la nécessité d’une gestion réfléchie, qu’il s’agisse de placements, d’assurance ou de crédit. Même lorsqu’il s’agit d’actifs volatils comme les cryptomonnaies, une stratégie cohérente et disciplinée reste votre meilleur allié face à l’imprévu. Les informations présentées ici ne constituent en aucun cas un conseil en investissement. Elles ont pour but de vous aider à mieux comprendre le fonctionnement des marchés financiers. Le Cabinet Avenirfi n’est pas CIF (Conseiller en Investissements Financiers). Vous êtes donc seul responsable des décisions que vous prenez. Il vous appartient de faire vos propres recherches et de consulter les professionnels habilités si nécessaire.

⏰ Une échéance à ne pas manquer Octobre, c’est le mois décisif pour tous les détenteurs d’un contrat de prévoyance. Pourquoi ? Parce que la plupart des contrats sont calés sur l’année civile : -> Préavis de résiliation de 2 mois = vous avez jusqu’au 31 octobre 2025 pour demander un changement de contrat. Passé cette date, il faudra attendre fin 2026 … 💡 Pourquoi comparer maintenant ? Les tarifs et garanties évoluent d’une année sur l’autre, souvent à la hausse , Certains contrats sont devenus obsolètes face aux nouvelles offres du marché, Un audit gratuit permet souvent de gagner en couverture sans payer plus — voire d’économiser. 🤝 L’accompagnement Avenirfi Chez Avenirfi, nous vous proposons une comparaison gratuite de votre contrat de prévoyance tout au long de ce mois d’octobre. Notre objectif : Identifier d’éventuelles garanties redondantes ou insuffisantes , Vous aider à optimiser votre protection personnelle et familiale , Vous accompagner dans la résiliation et la mise en place du nouveau contrat , sans perte de couverture. ✅ Et vous ? Votre contrat de prévoyance est-il encore adapté à votre situation actuelle ? 💬 Contactez Avenirfi dès aujourd’hui pour un audit gratuit avant le 31 octobre.

⚖️ Une nouvelle période d’incertitude La démission surprise du Premier ministre Sébastien Lecornu, moins d’un mois après sa nomination, relance les inquiétudes sur la stabilité politique française. Et dans un marché déjà fragile, chaque signal d’instabilité se répercute sur la confiance des investisseurs… donc sur les taux d’emprunt de l’État – et par ricochet, sur les taux de crédit immobilier . 📈 Des taux encore stables… mais sous tension Avant cette crise, les taux restaient globalement sages : 3,30 % sur 15 ans, 3,40 % sur 20 ans, 3,60 % sur 25 ans, avec même un retour des primo-accédants grâce à un apport personnel moyen en baisse (18 %) et une production de crédits quasi doublée depuis le début de l’année. Mais depuis lundi, le taux de l’OAT 10 ans – indicateur clé du coût de financement de la France – a flirté avec 3,6 % , signal d’alerte pour les banques : si la tension se maintient, elles devront mécaniquement relever leurs taux de prêt pour préserver leurs marges. 💡 Ce que cela signifie concrètement pour les emprunteurs Pas de panique à court terme : les établissements ne répercutent pas instantanément ces variations. Mais si l’instabilité politique perdure (absence de budget, incertitudes institutionnelles), une hausse progressive des taux immobiliers est à prévoir dans les prochaines semaines. Autrement dit, ceux qui ont un projet doivent agir sans tarder pour sécuriser leurs conditions avant un éventuel resserrement. 🤝 L’accompagnement Avenirfi Chez Avenirfi, notre rôle est de vous aider à garder le cap dans la tempête : Anticiper les mouvements du marché pour verrouiller les meilleurs taux disponibles , Optimiser votre dossier emprunteur pour conserver votre pouvoir de négociation, Vous accompagner avec pédagogie et réactivité , même dans un contexte politique incertain. ✅ Et vous ? Votre projet immobilier peut-il attendre que la situation se stabilise ? Parlons-en dès maintenant pour sécuriser votre financement avant une éventuelle remontée des taux.

🌍 Un contexte géopolitique incertain et un climat économique tendu L’or a dépassé récemment les 3 960 $ l’once , affichant une hausse impressionnante de près de 50 % depuis le début de l’année . Une performance remarquable, mais pas totalement inattendue. En réalité, l’ascension du métal jaune s’inscrit dans une tendance haussière de long terme , amorcée depuis plus de dix ans. Pourquoi un tel engouement ? La réponse ne se trouve pas dans une spéculation à court terme, mais dans un climat d’incertitude durable . Les tensions géopolitiques (Ukraine, Moyen-Orient, Taïwan...), les doutes sur la stabilité du système monétaire international et l’érosion de la confiance envers le dollar poussent de nombreux acteurs, publics et privés, à se tourner vers l’or. 🏦 Le rôle croissant des banques centrales Depuis 2010, ce sont surtout les banques centrales des pays émergents qui mènent une politique d’achats massifs d’or. La Russie, la Chine, l’Inde, mais aussi des pays d’Afrique ou d’Amérique du Sud cherchent à diversifier leurs réserves . Pourquoi ? Parce que la domination du dollar est perçue comme un risque stratégique . L’un des tournants majeurs a été le gel des avoirs de la banque centrale russe en 2022, à la suite de l’invasion de l’Ukraine. Cette décision a profondément marqué les pays non-alignés, qui s’interrogent désormais sur leur indépendance financière vis-à-vis du dollar . 📉 Défiance envers le dollar et politiques monétaires expansionnistes L’or profite également des politiques monétaires ultra-accommodantes menées depuis la crise de 2008 : quantitative easing , taux bas, création monétaire massive... autant de mesures qui ont alimenté la défiance envers les monnaies fiduciaires , surtout le dollar, et renforcé l’attrait de l’or comme réserve de valeur intemporelle . 📊 Un actif à part dans une allocation d’actifs L’or est un actif sans passif : il ne génère ni dividende, ni intérêt, mais il offre une certaine forme de sécurité , car il n’est adossé à aucun émetteur. Il est aussi décorrélé des marchés actions et obligataires , ce qui en fait un outil de diversification particulièrement utile dans les périodes de stress économique. Alors, faut-il "tout miser sur l’or" ? Non. Mais le surpondérer intelligemment dans une stratégie d’allocation d’actifs peut avoir du sens, notamment dans un environnement aussi incertain que celui que nous connaissons. 📈 Un potentiel encore présent ? Avec une capitalisation estimée entre 20 000 et 25 000 milliards de dollars , le marché de l’or est conséquent... mais loin d’avoir atteint ses limites. Historiquement, les niveaux actuels des réserves détenues par les banques centrales restent inférieurs à ceux du passé , laissant envisager une marge de progression, tant en volume qu’en valeur. 💬 En résumé : pourquoi l’or séduit à nouveau C’est un refuge en période d’incertitude géopolitique et monétaire Il protège contre les risques liés à l’inflation et à la dépréciation monétaire Il offre une diversification pertinente au sein d’un portefeuille d’actifs Il est soutenu par une demande structurelle forte , notamment des banques centrales Avenirfi , bien que non Conseiller en Investissement Financier (CIF) , peut vous accompagner dans la compréhension des mécanismes économiques, des classes d’actifs et dans la structuration de vos projets patrimoniaux via des solutions d’ épargne retraite , d’ assurance vie , ou encore de prévoyance . Pour toute stratégie de placement, nous vous invitons à vous entourer de professionnels agréés et à mener vos propres recherches. Les informations fournies dans cet article sont à but purement pédagogique. Elles ne constituent ni un conseil en investissement, ni un conseil juridique, fiscal ou de toute autre nature. Le Cabinet Avenirfi décline toute responsabilité quant à l'utilisation qui pourrait en être faite.

🌍 Un système monétaire en mutation profonde Depuis plusieurs années, le socle de la confiance monétaire mondiale vacille. Après l'or, longtemps utilisé comme réserve de valeur, c'est le dollar américain qui a assuré ce rôle dominant. Mais aujourd’hui, cette hégémonie est fragilisée. L’inflation, la montée des dettes publiques et les tensions géopolitiques poussent les investisseurs à chercher des alternatives. 🪙 Bitcoin : une nouvelle clé de voûte pour la confiance ? Le Bitcoin s’affirme comme un candidat sérieux à ce rôle historique. Aux États-Unis, des entreprises comme MicroStrategy accumulent stratégiquement des réserves en Bitcoin via des émissions de dette. On parle désormais de "Bitcoin Treasury Companies", dont le seul but est d’acheter du BTC comme actif de réserve. Cette dynamique reflète une nouvelle manière de penser la monnaie : non plus comme un outil contrôlé par l’État, mais comme une réserve de valeur universelle et décentralisée . 💵 Les stablecoins : une révolution en marche Autre phénomène marquant : l’essor des stablecoins (des cryptos adossées à des monnaies fiat comme le dollar). Ces outils permettent une monétisation directe de la dette américaine sans passer par les banques centrales. C’est un vrai changement de paradigme qui pose une question fondamentale : peut-on encore parler de monnaie “neutre” quand elle est directement adossée à une dette publique croissante ? 🇪🇺 L’Europe, en retard mais pas hors course L’Europe tarde à réagir : l’euro numérique n’a pas encore convaincu, et les initiatives autour des stablecoins en euro sont encore timides. Pourtant, la régulation commence à bouger. Mais comme souvent, l'Europe régule avant de comprendre, et risque de se faire distancer par les États-Unis, déjà bien implantés. 🏛️ Vers une monnaie concurrentielle portée par le secteur privé ? On assiste peut-être à la concrétisation du rêve de l’économiste Friedrich Hayek : une véritable concurrence entre les monnaies , non pas initiée par les États, mais par le secteur privé. Les entreprises américaines prennent les devants, et s'érigent progressivement en nouveaux piliers du système monétaire mondial. 📈 Quel impact pour votre patrimoine ? L’intégration des cryptomonnaies dans une stratégie patrimoniale devient un sujet sérieux. De plus en plus de notaires et conseillers s’y intéressent. Il est possible aujourd’hui d’acheter, stocker, transmettre ou même emprunter en utilisant des actifs numériques comme le Bitcoin, dans une logique structurée, fiscalement neutre et juridiquement encadrée . 👉 Chez Avenirfi , même si nous ne sommes pas conseillers en investissements financiers, nous nous engageons à vous informer sur les évolutions du monde monétaire et leurs impacts sur vos décisions budgétaires, immobilières ou assurantielles. Notre mission : vous accompagner avec clarté et pédagogie, dans un monde en pleine mutation. 📌 Les informations fournies ne constituent pas un conseil en investissement, ni un conseil juridique, fiscal ou de toute autre nature. Charge à chacun de mener ses propres investigations. Le Cabinet Avenirfi décline toute responsabilité quant aux utilisations qui pourraient en être faites.

L’agence de notation Fitch a récemment abaissé la note de la France à A+. Cela signifie que notre pays est désormais considéré comme un emprunteur “moins sûr” qu’avant. Ce n’est pas sans conséquences pour votre quotidien : crédit immobilier, fiscalité, pouvoir d’achat… Mais faut-il s’alarmer ? Pas forcément. Chez Avenirfi, on fait le point, de façon pragmatique , pour vous aider à mieux comprendre les enjeux sans céder aux discours anxiogènes ni aux simplifications hasardeuses. 📉 Oui, la dette publique augmente... mais ce n’est pas (toujours) un problème Depuis les années 70, la France est structurellement en déficit. Cela veut dire que l’État dépense plus qu’il ne perçoit , et comble l’écart en s’endettant. C’est ce qu’on appelle la dette publique, qui dépasse aujourd’hui 110 % du PIB. Mais attention à la caricature : la dette n’est pas forcément une mauvaise chose . Elle est toujours remboursée , refinancée régulièrement, et constitue même un placement prisé par les épargnants . En effet, de nombreuses assurances vie ou fonds d’investissement contiennent des obligations d’État françaises. Bref, la France ne rembourse pas “en cash”, elle rembourse avec de la nouvelle dette – comme le font la majorité des pays développés. 🧭 La vraie question : à quoi sert cette dette ? Ce n’est pas tant le montant de la dette qui importe, mais l’usage qu’on en fait . Si elle finance des infrastructures utiles , de l’éducation , ou la transition écologique , c’est un investissement pour demain. Si elle finance principalement des dépenses de fonctionnement inefficaces ou alimente des rentes spéculatives , elle devient plus difficile à justifier. Le problème n’est donc pas de s’endetter, mais de mal s’endetter . 🏠 Et pour vous, concrètement ? Même avec ces nuances économiques, il existe des effets directs pour les ménages : - Des taux immobiliers qui peuvent grimper Quand la note d’un pays baisse, le coût de sa dette augmente . Cela peut se répercuter sur le coût du crédit pour les particuliers. 📌 Un crédit immobilier pourrait coûter plus cher dans les mois à venir , réduisant la capacité d’achat ou de financement de nombreux foyers. - Une pression budgétaire potentielle Même si l’État peut se refinancer, il doit aussi rassurer les marchés. Cela peut passer par : Une baisse des dépenses publiques (santé, éducation, services sociaux…), Ou une hausse des prélèvements (impôts, taxes, cotisations…). Les classes moyennes pourraient être en première ligne , comme souvent. ⚖️ Ce que l’État ne doit pas oublier La dette n’est pas un fardeau automatique pour les générations futures. Mais ce sont les choix politiques liés à cette dette qui façonnent leur avenir . Faut-il investir dans des écoles, des hôpitaux, la transition énergétique ? Ou continuer à privilégier des mesures fiscales qui n'ont pas toujours prouvé leur efficacité ? La dette peut être un levier d’avenir ou un piège , selon l’usage qu’on en fait. C’est là que les citoyens ont un rôle : s’informer, interroger, voter, arbitrer . 🤝 Avenirfi, votre partenaire face aux incertitudes Chez Avenirfi, nous aidons les familles, les actifs et les jeunes retraités à : Anticiper les hausses de taux pour financer sereinement leur projet immobilier , Mettre en place une assurance emprunteur adaptée , même en cas de contexte économique tendu, Développer une stratégie d’épargne retraite ou d’assurance vie simple et cohérente, Prévoir l’imprévu grâce à une bonne couverture en prévoyance, essentielle en cas d’accident de la vie. En résumé ➡ La dégradation de la note française est un signal à prendre en compte , mais ce n’est pas une fatalité. ➡ La dette n’est pas “mauvaise” en soi. Elle peut être utile ou non, selon comment elle est utilisée. ➡ Pour les ménages, il est essentiel de prendre les devants pour éviter de subir les conséquences indirectes.

📊 Le moment idéal pour faire le point La rentrée, ce n’est pas seulement la reprise des cours ou du travail : c’est aussi le bon moment pour revoir son budget et préparer ses projets financiers. Les dépenses augmentent avec la rentrée familiale, L’inflation pèse encore sur le pouvoir d’achat, Mais il existe des solutions pour transformer vos efforts d’épargne en véritables opportunités. 💡 Pourquoi penser à l’assurance vie dès septembre Un outil souple et accessible, pour épargner à votre rythme, Des avantages fiscaux et patrimoniaux sur le long terme, La possibilité de diversifier vos placements selon votre profil. 🤝 L’accompagnement Avenirfi Chez Avenirfi, nous vous aidons à : Évaluer vos capacités d’épargne réelles, Choisir un contrat adapté à vos objectifs (sécurité, rendement, transmission), Optimiser vos finances dès la rentrée, sans attendre la fin de l’année. ✅ Et vous ? Allez-vous laisser vos économies dormir… ou les transformer en projets concrets dès cette rentrée ? 💬 Contactez Avenirfi pour faire un point personnalisé sur votre épargne.

