Crédits immobiliers : vers une nouvelle hausse des taux ?

📉 Un signal inquiétant venu des marchés
Le taux de la dette française à 30 ans a dépassé les 4,50 %, un plus haut depuis 2009.
Un signe clair : les investisseurs doutent de la capacité de la France à redresser ses finances publiques. Cette défiance, alimentée par l’instabilité politique et le déficit budgétaire, crée une pression durable sur les taux.

🔎 Quelles conséquences pour les emprunteurs ?
  • Le taux à 10 ans, qui sert de référence aux banques pour fixer les taux immobiliers, est déjà au-dessus de 3,5 %.
  • Si l’incertitude politique perdure (vote de confiance le 8 septembre), ou si la note de la dette française est dégradée par Fitch le 12 septembre, les banques pourraient répercuter cette tension sur leurs offres de crédit.
  • Concrètement : emprunter pourrait coûter plus cher dès l’automne.
💡 Que faire pour sécuriser son projet immobilier ?
  • Agir rapidement : la fenêtre actuelle avec des taux autour de 3 % sur 20 ans reste intéressante.
  • Soigner son dossier : plus que jamais, les banques vont privilégier les profils solides (apport, épargne, stabilité pro).
  • Être accompagné : un courtier comme Avenirfi négocie activement pour défendre vos intérêts face aux banques.
🤝 L’engagement Avenirfi

Notre rôle est de vous aider à ne pas subir la conjoncture :
  • en anticipant les évolutions de marché,
  • en optimisant vos conditions de financement,
  • en trouvant des solutions adaptées à votre projet, même dans un contexte tendu.
✅ Et vous ?
Votre projet immobilier doit-il attendre ou est-ce au contraire le bon moment pour agir ?

💬 Discutons-en ensemble pour sécuriser votre financement avant de possibles hausses.

Publications

par Jean-Charles Andre 7 novembre 2025
🌟 Une belle réussite collective Octobre a été un mois intense pour le cabinet Avenirfi, marqué par de nombreux audits et souscriptions de contrats de prévoyance sur mesure . Notre objectif : accompagner chaque client vers une protection réellement adaptée à sa situation familiale, professionnelle et financière. 💬 Beaucoup de clients avaient des besoins très spécifiques : prise en compte de leur âge à l’adhésion , choix d’un barème professionnel plus favorable en cas d’invalidité, maintien de revenus sur mesure , ou encore la prise en charge des frais généraux pour les indépendants. Et il faut bien le dire : tous les assureurs ne proposent pas ce niveau de personnalisation. 👉 C’est là que le rôle du courtier Avenirfi prend tout son sens : comparer, négocier et construire un contrat cohérent avec les attentes du client. ⏳ Mais certains ont manqué le coche… Malgré nos nombreuses relances, quelques clients n’ont pas pu agir à temps avant la date butoir du 31 octobre pour résilier leur ancien contrat. Rien de dramatique : ils sont déjà inscrits dans nos priorités pour 2026, et je suis convaincu que nous ferons encore mieux l’an prochain , tant en réactivité qu’en nombre de souscriptions ! 🤝 Un accompagnement qui continue Même après cette échéance, il est toujours possible : de souscrire un premier contrat de prévoyance , ou d’en ajouter un en complément du précédent pour renforcer sa couverture. Je reste à disposition pour vous aider à : ✅ comprendre les garanties disponibles (arrêt de travail, invalidité, décès, rente éducation, etc.), ✅ déterminer les bons niveaux de protection selon votre âge, votre métier et vos besoins, ✅ et optimiser votre contrat sans surcoût inutile. 💡 La prévoyance, c’est bien plus qu’un contrat : c’est une véritable assurance de sérénité pour soi et pour ses proches. 📩 Contactez Avenirfi dès maintenant pour faire le point sereinement sur votre protection. Il n’est jamais trop tard pour bien se protéger .
par Jean-Charles Andre 30 octobre 2025
🔍 Tandis que le projet d’ euro numérique de détail continue de susciter scepticisme et débats, la Banque centrale européenne (BCE) avance à pas assurés sur un autre front : celui de l’ euro numérique interbancaire , aussi appelé “euro numérique de gros”. Moins médiatisé, ce chantier n’en est pas moins stratégique : il vise à moderniser les règlements entre institutions financières à l’aide de technologies blockchain, tout en préservant la stabilité du système bancaire. 🏦 De quoi s’agit-il ? La BCE vient de publier la liste des participants retenus pour la première phase de son projet de monnaie numérique interbancaire. Sans surprise, toutes les grandes banques européennes figurent parmi les acteurs sélectionnés. Cette première étape, baptisée « Pontes », consiste à connecter les plateformes DLT (Distributed Ledger Technology) aux services TARGET de l’Eurosystème, c’est-à-dire les infrastructures de paiement et de règlement de la BCE. Le lancement pilote est prévu pour le 3e trimestre 2026 , marquant le début concret de l’intégration des technologies blockchain dans les échanges interbancaires. 🚀 Une phase 2 déjà en préparation La deuxième phase , nommée « Appia », visera à développer une véritable infrastructure de CBDC de gros entièrement intégrée . Ses objectifs : permettre la programmabilité des paiements (exécution automatique selon des conditions prédéfinies), assurer le règlement atomique (paiement et livraison simultanés), faciliter les opérations de change et les transactions transfrontalières au sein d’un cadre européen harmonisé. Contrairement à l’euro numérique de détail, cette version “de gros” fait largement consensus entre les banques et la BCE. Les acteurs financiers y voient une modernisation nécessaire des circuits de paiement interbancaires, sans remise en cause de leur rôle central dans la création monétaire. ⚙️ Deux modèles encore en discussion Deux grandes architectures sont aujourd’hui à l’étude : Un registre unique intégré , combinant monnaie de banque centrale, dépôts bancaires, actifs tokenisés et stablecoins. Un réseau de registres interopérables , où chaque acteur conserverait son système mais connecté aux autres via des passerelles sécurisées. La BCE n’a pas encore tranché, mais ces choix détermineront la manière dont les flux financiers européens seront organisés dans les décennies à venir . ODDO BHF : première banque à intégrer un stablecoin dans ses réserves 🔵 Dans le sillage de cette dynamique, la banque Oddo BHF vient de créer la surprise en lançant EUROD, son propre stablecoin en euros , validé par l’ ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution). Particularité notable : EUROD n’est pas adossé à une réserve séparée . Alors que la réglementation MiCA impose aux établissements de monnaie électronique une réserve 100 % liquide et isolée, les banques , elles, peuvent intégrer les stablecoins à leurs réserves fractionnaires . Autrement dit, ces jetons numériques deviennent une composante du bilan bancaire , au même titre que les dépôts traditionnels. 💡 Une première en Europe Oddo gère plus de 150 milliards d’euros d’actifs et devient ainsi la première banque européenne à franchir ce cap. Même la Société Générale, pionnière dans le domaine avec sa filiale Forge , n’avait pas intégré directement ses stablecoins à son bilan. Ce positionnement confère à Oddo un avantage compétitif inédit , tout en marquant une rupture dans la gestion monétaire au sein du secteur bancaire. Il ouvre la voie à une forme hybride entre finance traditionnelle et finance tokenisée. 🌍 Quelles perspectives pour le secteur bancaire européen ? Jusqu’ici, la prudence réglementaire avait freiné les initiatives des grandes banques sur les stablecoins. Mais la décision d’Oddo pourrait bien changer la donne : d’autres établissements européens pourraient suivre ce modèle , d’autant que la réglementation européenne est plus souple que celle des États-Unis , où les banques doivent maintenir des réserves totalement séparées. Le message est clair : l’Europe ne veut plus rester spectatrice de la transformation monétaire mondiale. Entre CBDC interbancaire et stablecoins privés régulés , le vieux continent commence à se doter d’un écosystème numérique financier propre , apte à rivaliser avec l’hégémonie du dollar numérique. 👉 Chez Avenirfi , nous suivons avec attention ces évolutions qui redéfinissent les équilibres financiers mondiaux. Si ces mutations peuvent sembler lointaines, elles auront à terme un impact sur l’économie réelle, la gestion de l’épargne et les mécanismes de financement. Notre mission : accompagner nos clients dans la compréhension de ces nouveaux enjeux économiques , pour qu’ils puissent prendre leurs décisions en toute connaissance de cause.
par Jean-Charles Andre 29 octobre 2025
🔍 Alors que la Banque Centrale Européenne (BCE) poursuit son projet d’ euro numérique pour les particuliers à l’horizon 2028, la résistance du secteur bancaire s’intensifie. Les grandes banques européennes, inquiètes des conséquences pour leur modèle économique, dénoncent un projet « ni adapté aux besoins des consommateurs, ni bénéfique pour la stabilité financière ». 💶 Une monnaie numérique qui inquiète les acteurs traditionnels L’euro numérique serait une monnaie digitale émise directement par la BCE , mise à disposition du grand public, à l’image de l’euro fiduciaire (billets et pièces). Mais contrairement à la monnaie actuelle, détenue sur des comptes bancaires commerciaux, cette nouvelle forme de monnaie serait directement inscrite dans les registres de la BCE . Un changement de paradigme majeur : si les particuliers venaient à transférer une part significative de leurs dépôts vers cette monnaie numérique, les banques commerciales se retrouveraient privées d’une ressource essentielle pour financer les crédits à l’économie réelle. Autrement dit : moins de dépôts → moins de capacité à prêter → un risque sur leur rentabilité et sur l’économie . 💰 Un coût colossal et une utilité discutée Selon les estimations de PwC , la mise en place de l’euro numérique coûterait entre 18 et 30 milliards d’euros . Un montant considérable pour un projet dont l’intérêt concret pour les consommateurs reste flou. Les banques soulignent que les moyens de paiement électroniques actuels (cartes, virements instantanés, wallets…) répondent déjà efficacement aux besoins du grand public. 🇺🇸 Pendant ce temps, les États-Unis confortent leur avance De l’autre côté de l’Atlantique, les États-Unis ont mis en pause leur projet de monnaie numérique de banque centrale (MNBC) . Mais ils dominent largement le marché des stablecoins , ces cryptomonnaies adossées au dollar. Résultat : 99 % des stablecoins en circulation sont libellés en dollar américain — une nouvelle manière pour les États-Unis d’affirmer leur suprématie monétaire mondiale. Chaque émission de stablecoin s’accompagne d’achats massifs de dette américaine , ce qui contribue à financer leur économie à moindres frais. 🌍 Vers une alternative européenne ? Face à cette hégémonie du dollar numérique, plusieurs groupes bancaires européens travaillent déjà à des stablecoins en euro , émis de manière concertée et régulée. Même la Banque de France , par la voix de son gouverneur, appelle désormais à favoriser l’émergence de champions européens dans ce domaine — signe d’un certain réalisme face à l’évolution du marché. 🧭 Ce qu’il faut en retenir L’euro numérique pourrait profondément transformer le rôle des banques commerciales et la manière dont circule la monnaie en Europe. Mais le projet pose encore plus de questions qu’il n’apporte de réponses : Comment préserver la stabilité financière si les dépôts fuient les banques ? Qui financera les ménages et les entreprises ? Et surtout, quelle place pour l’Europe dans la compétition monétaire mondiale dominée par le dollar numérique ? Le débat est loin d’être clos, et il s’annonce déterminant pour l’avenir de notre système monétaire. 👉 Chez Avenirfi , nous suivons de près ces évolutions financières qui, à terme, pourraient impacter la gestion de l’épargne et des crédits . Notre rôle : accompagner nos clients dans un environnement économique en mutation , en leur proposant des solutions concrètes, transparentes et adaptées à leurs besoins.
par Jean-Charles Andre 27 octobre 2025
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par Jean-Charles Andre 22 octobre 2025
💡 Changer d’assurance emprunteur peut faire économiser gros… mais à quel prix ? Depuis la loi Lemoine, tout emprunteur peut désormais changer d’assurance de prêt immobilier à tout moment . Une liberté bienvenue, surtout quand on sait qu’un nouveau contrat peut faire baisser la facture jusqu’à 25 % ou plus . Mais derrière ces économies séduisantes se cache un risque souvent méconnu : celui des « trous de garanties ». 🔍 Un “trou de garanties”, qu’est-ce que c’est ? C’est la situation dans laquelle aucun des deux contrats — l’ancien ou le nouveau — ne couvre un sinistre , par exemple en cas d’arrêt de travail ou d’invalidité. Cela peut survenir lorsque : le délai de carence du nouveau contrat n’est pas encore écoulé ; ou que le sinistre s’est produit avant la date d’effet du nouveau contrat, alors que l’ancien a déjà été résilié. Résultat : aucune prise en charge par les assureurs… alors même que l’emprunteur pensait être parfaitement couvert. ⚠️ Les deux points de vigilance avant tout changement Le délai de carence : certaines assurances n’indemnisent pas les sinistres survenus pendant une période de quelques mois après la souscription. Cela peut concerner notamment les garanties perte d’emploi, incapacité temporaire de travail (ITT) ou invalidité. Les exclusions liées aux pathologies préexistantes : si un problème de santé existait avant la souscription du nouveau contrat, il peut être exclu, surtout si la pathologie a été médicalement constatée avant le changement. 🎯 Comment éviter ces situations ? Avant de signer, il est essentiel de : comparer les garanties ligne par ligne , et pas seulement le prix ; vérifier la date exacte d’effet du nouveau contrat ; demander un accompagnement professionnel pour s’assurer que la transition se fasse sans interruption de couverture. Changer d’assurance emprunteur est une excellente opportunité pour alléger le coût de son crédit immobilier. Mais cette démarche doit se faire avec prudence et méthode , afin d’éviter que l’économie réalisée ne se transforme en perte sèche en cas de coup dur. 📣 Et vous ? Avez-vous déjà envisagé de changer votre assurance emprunteur ?
par Jean-Charles Andre 16 octobre 2025
🧭 Un repère dans la tempête économique mondiale Le cours de l’or s’envole et dépasse désormais les 4 000 $/once , suscitant l’intérêt… mais aussi l’inquiétude. Faut-il y voir un signal d’alarme, une bulle spéculative sur le point d’éclater ? Ou bien, au contraire, s’agit-il d’un phénomène structurel révélant un bouleversement plus profond : la perte de confiance dans les monnaies fiat ? Chez Avenirfi , nous ne proposons pas de conseil en investissement — ce n’est pas notre rôle. En revanche, nous pouvons vous aider à mieux comprendre les dynamiques économiques, à vous forger une opinion informée, et à agir en toute conscience pour votre gestion budgétaire ou vos choix patrimoniaux , notamment autour de l’épargne ou de la prévoyance. 🔍 Une hausse parabolique… mais pourquoi ? Depuis plusieurs mois, le prix de l’or a connu une accélération fulgurante , passant de 3 600 $ à plus de 4 100 $ en quelques semaines. Une hausse qui semble difficile à expliquer par les seuls indicateurs macroéconomiques. Mais plusieurs éléments structurels soutiennent cette dynamique : L’inflation reste présente malgré le discours rassurant des banques centrales. La dette publique mondiale explose , notamment aux États-Unis (plus de 35 trillions de dollars). Les taux d’intérêt sont orientés à la baisse (la Fed a déjà réduit de 50 points de base en septembre 2025). Les tensions géopolitiques perdurent malgré certaines accalmies ponctuelles. Les banques centrales achètent massivement de l’or physique , notamment en Asie et dans les pays des BRICS. Les investisseurs cherchent une valeur refuge , face à l’instabilité grandissante du système monétaire international. 📉 Bulles, emballement et points de vigilance Certains analystes alertent néanmoins sur des signaux de surchauffe : L’or affiche désormais une courbe “parabolique” , typique des phases finales de bulle spéculative. L’engouement se généralise : quand la presse, les chauffeurs de taxi ou la voisine s’y intéressent, cela peut indiquer une surenchère émotionnelle plus qu’une conviction fondamentale. Le métal jaune est désormais massivement acheté en physique , au détriment des ETF, ce qui crée des tensions logistiques , parfois même des pénuries locales (notamment en Asie du Sud-Est). Les produits fractionnés (lingotins de 0,5 g à 1 g) explosent en popularité — mais attention aux frais parfois exorbitants , parfois plus de 40 % de la valeur faciale ! Un risque de correction de 10 à 20 % dans les mois à venir n’est donc pas à exclure. Cela n’invaliderait pas pour autant la tendance de fond. 🧱 L’or n’est pas un investissement, c’est une protection Rappel fondamental : l’or ne produit aucun rendement . Ce n’est pas un actif “rentable” au sens classique. Son intérêt réside ailleurs : il protège . Une once d’or vaudra toujours une once d’or. Ce n’est pas l’or qui monte, c’est la valeur de la monnaie qui baisse. C’est pourquoi il est pertinent de parler de “bouclier” plutôt que d’investissement , comme le propose justement l’approche pédagogique de certains formateurs indépendants. Chez Avenirfi, nous pouvons vous aider à réfléchir à ce rôle de “valeur refuge” au sein d’une stratégie globale de sécurisation : assurance-vie multisupport, épargne de précaution, constitution d’un patrimoine tangible… sans jamais tomber dans la spéculation. 💡 Faut-il acheter de l’or aujourd’hui ? Et comment ? Cela dépend de votre situation, mais quelques principes simples et prudents s’appliquent : Entrer progressivement (stratégie DCA) : acheter régulièrement, par petites touches, plutôt que de tenter de “timer” le marché. Favoriser le physique (et bien comprendre les frais) : ne payez pas 50 % de prime sur un mini-lingotin… sauf si c’est pour offrir à Noël. Stocker dans un lieu sécurisé : le stockage en Suisse, comme proposé par des sociétés spécialisées, peut être une bonne solution pour éviter les risques domestiques. Diversifier ses métaux précieux : l’argent, le platine ou le palladium peuvent compléter une allocation or, avec des perspectives différentes (par exemple, la demande industrielle de l’argent explose). L’argent métal, plus abordable, a progressé de +64 % en un an : c’est une alternative sérieuse si l’or devient hors de portée. 🔁 Que faire si l’or baisse demain ? La meilleure stratégie consiste souvent à ne rien faire . Si vous avez investi prudemment, de manière régulière, et pour les bonnes raisons (protection, diversification), alors une correction est un simple passage à vide, pas un drame. En revanche, pour ceux qui souhaiteraient réduire leur exposition après une forte hausse : la même logique s’applique. Revendre progressivement , par tranches, permet d’optimiser les prix sans se précipiter. ⚠️ Avenirfi et les métaux précieux : notre position Nous ne commercialisons pas d’or physique ni d’investissement en métaux précieux. 👉 Cependant, dans le cadre de nos services d’accompagnement budgétaire , de préparation à la retraite , ou de stratégies d’épargne à moyen/long terme , nous pouvons vous aider à poser les bonnes questions et à évaluer le rôle des métaux précieux dans un patrimoine personnel. Et surtout, à ne pas confondre protection du pouvoir d’achat avec recherche de performance absolue .
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